02 - les merveilleux poèmes d'Hélène ....
"A MA FILLE"
Je me souviens de ton sourire et de ta gentillesse
De tes bras délicats autour de mon cou
De tes élans d'amour et de tendresse
Tout cela me manque tout d'un coup.
De mon cœur tu t'es éloigné doucement
Tu as dressé un mur entre nous
Patiemment j'ai subi tes sauts d'humeur
Aujourd'hui il ne reste que des éclats de voix.
De l'amour j'en avais à te donner
Celui que tu m'as toujours refusé
Dans ce monde construit selon ton désir
Pardonne-moi de n'avoir eu que ça à t'offrir.
Notre séparation t'aidera t-elle à réfléchir
A ces années perdues et qui ne se rattraperont plus
A tous ces moments gâchés à se maudire
A ce cœur sec amer et sans éclat.
Alors que les tiens s'inonderont pour toujours
Des larmes de regret que ta mère a tant versée
A cause de tous ce gâchis d'amour.
Hélène**FIACHETTI**GILIBERTI
Écrit en 2003 - inséré : (le12 Avril 2005 )
Magnifique Tableau par l'artiste peintre
Sabine BIAZOT
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Chanson des amants perdus
Le ciel est devenu si noir
Entends-tu l'orage qui gronde
L'éclair me foudroie au cœur
Comme la flèche de cupidon.
Les montagnes m'encerclent
Impossible de me sauver
J'ai si froid sans ton amour
Je suis seule dans ce trou perdu.
Les oiseaux ne chantent plus
La terre tremble sous mes pieds
La neige commence à tomber
La grêle à tous dévastée.
Perturbation sur notre amour
Soleil au nord, mauvais temps au sud
Rayon de soleil du matin
Chagrin pour le lendemain.
Prière du soir un espoir
Je n'y crois plus je n'en veux plus
Je te laisse à ta vie monotone
Et moi je reprends la mienne.
Chanson des amants perdu
Tu ne reviendras plus
Que le diable t'emporte
Je t'aimerais ou je t'oublierais.
Hélène**FIACHETTI**GILIBERTI
Bernard FRACKOWIAK
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Je la regarde tristement
Elle est perdue dans ses pensées
D'un amour qui l'a sûrement délaissé
Elle souffre aujourd'hui du fruit du passé.
Elle a les yeux qui brillent
Est-ce des gouttes de pluies
Ou des larmes de regret
Que je vois ruisseler sur ses joues.
J'aime la regarder et lui sourire
Lui donner virtuellement mon cœur
Un baiser silencieux rien que pour elle
Un petit clin d'œil qui la fera rougir.
Son visage me rappel un amour
Que j'ai aimé autant qu'elle m'a aimé
Son sourire était le même
Sa douceur comme je l'aimais.
Elle me regarde comme si elle me connaissait
Serais-ce cette femme rencontrée un jour de mai
Aurait-elle reconnu cette lueur dans mes yeux
Cette lueur qu'elle n'a sûrement jamais oubliée.
J'aimerais tant m'approcher d'elle
Mais me dira t-elle c'est trop tard
Pourtant l'amour n'a pas d'age
On peut aimer aussi étant vieux.
Comme j'aimerais de nouveau l'aimer
Comme j'aimerais vivre avec elle
J'ai gâché sa vie et la mienne s'en est allée
D'avoir été trop lâche et tout quitter pour elle.
Je lui envoie doucement mon pardon du passé
Mes plus beaux je t'aime que je lui chuchotais
Mes promesses que je lui offrais
M'aime t-elle encore comme je l'ai aimé.
Ma vie c'est arrêté le jour où je l'ai quitté
Les mois ont passés et les années aussi
Aujourd'hui je suis-là à pleurer devant-elle
Ses larmes sont les miennes et notre amour est brisé.
Hélène**FIACHETTI**GILIBERTI
Ecrit le : 02 mai 2005
Tableau réalisé par le célèbre artiste peintre
Bernard FRACKOWIAK
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Ce poeme a été écrit pour ma maman qui aura 90 ans en 2007
Et qui est actuellement, en maison de retraite.
Ma souffrance pour elle
Chaque dimanche que je lui rends visite
Dans cette maison où je l'ai laissé
Elle m'attend assit sur son fauteuil
Et au loin dés qu'elle m'aperçoit
Elle en retrouve son sourire.
Mais il y a une chose qu'elle ne voit pas
Et que je ne lui fais surtout pas ressentir
S'est la souffrance que j'ai dans mon cœur
De l'avoir laissée là avec tous ces gens
Qui n'attendent plus rien de la vie.
Mais je n'ai pas pu faire autrement
De la retrouver souvent par terre chez elle
Et ses hématomes qu'elle se faisait
Me rendais malade de la voir ainsi
Alors Dieu me pardonnera.
Parfois quand je suis prés d'elle
Je regarde ses yeux qui me parlent
Je l'entends me crier sa souffrance à elle
"Pourquoi m'as-tu laissé là
Avec ces gens que je ne connais pas".
Alors je détourne mon visage du sien
Pour ne pas voir ses yeux qui pleurent
Car je suis sur qu'à ce moment-là
Elle verrait aussi qu'il pleut dans mon cœur
Car s'est ma mère et je l'aime tant.
Je sais qu'un jour elle me quittera
Et que je souffrirais par son absence
Pourquoi faut-il lorsque l'on aime une personne
Qu'elle vous laisse seul sans ses baisers.
Alors à quoi ça sert d'aimer.
L'amour et la souffrance seraient-elles amies
L'amour que j'ai pour elle me fait souffrir
Et je n'en ressens aucun plaisir.
Alors que faut-il que je fasse
Que j'efface ma douleur lorsque je suis prés d'elle.
Je suis la seule à lui donner mon coeur
Cette passion d'aimer, partagé entre elle et mes enfants
Mais mon cœur est assez grand pour ses deux amours
Je ne l'a laisserais jamais tombé
Elle est ma mère et je l'aime tant.
On n'abandonne jamais une mère
Une seule suffit pour nous aimer
Elle m'a donné tout son amour
Aujourd'hui je lui donne le mien en retour
Sans lui avouer ma souffrance de trop l'aimer....
Mais qui sait…Peut être le sait-elle déjà, mon secret.
Hélène**FIACHETTI**GILIBERTI
Écrit le : 30 novembre 2002 (30 novembre 2002 )
Ce poème est magnifique, il resemble à un cri de douleur qui s'élèverait au dessus de l'âme.
Cet acte dénote une grande bonté.
Des larmes cachées, dévoilant quelques secrets dans des terribles regrets.
Anthony Bradley
Tableau réalisé par l'artiste peintre
François Maréchal HOUSSE
1861
( Portrait de la femme de l'artiste.)
Jean-Christophe SAYER
Webmaster d'un site et d'un blog sur les sciences occultes
Auteur d'un guide de démonologie (Etude des démons)
Journaliste - SACEM
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(voir le : 3 - Pour prendre contact avec l'Artiste.
Pour voir son Site et écouter sa chanson fétiche)
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